Quel chargeur de Vélo Choisir 

La technologie qu’utilise le chargeur devrait idéalement être identique à celle de la batterie. Cette information est généralement inscrite sur l’étiquette située au dos de l’équipement. Il vous suffit alors de la comparer à celle affichée sur l’accumulateur (ou sur le composant d’origine) pour vous assurer que les éléments sont compatibles ou non.
La mention « Pb » ou « Lead-Acid » signifie qu’il s’agit d’un modèle plomb. L’indication « NiMH » ou « NiCd » fait référence à un matériel au nickel-hydrure métallique ou nickel cadmium. L’inscription « Li-on » ou « Li-po », quant à elle, indique un accessoire qui utilise la technologie Lithium-ion.

Le chargeur ne peut être apparié à votre engin que si son connecteur est compatible avec le port de charge de celui-ci. Dans le cas où vous avez trouvé un bon chargeur, mais que le connecteur ne convient pas, la solution est d’utiliser un adapteur ou tout simplement de remplacer l’embout (vous pouvez en faire la demande au fabricant ou à un technicien). Un bon chargeur doit être pratique, léger et robuste. Les modèles à taille optimisée sont donc absolument à privilégier. En outre, le mieux serait aussi que le boîtier soit conçu sans fentes d’aération. Cette structure réduire largement les risques de détérioration puisqu’elle protège le chargeur des facteurs externes.

Tout comme pour la technologie utilisée, la tension affichée sur le chargeur doit être identique à celle de la batterie ou de la pièce d’origine. Il convient de préciser que le voltage peut largement varier d’un modèle d’équipement à l’autre (24V, 36V, 42V, 48V et autres).

Le principe est le même pour l’intensité : elle doit être idéalement identique à celle de l’accessoire d’origine. Techniquement, la compatibilité ne peut être garantie que si le chargeur a la capacité de fournir les 1/10 d’ampérage-heure de la batterie.